"Jamais les animaux n'ont autant eu à souffrir qu'en ce début de siècle. Afin que notre monde change, prenez part au changement, épargnez-les. Parce qu'aucun être vivant ne mérite d'être torturé, d'être sacrifié, d'être mis à mort pour le plaisir, pour la science ou pour terminer dans votre assiette. Devenez le changement !"
Anouk de Winter
"Le son le plus triste dont je me souvienne s'est imprimé dans ma conscience comme sous l'effet d'un fer rouge quand j'avais cinq ans, dans la ferme laitière que mon oncle avait dans le Wisconsin. Une vache avait donné naissance à un veau magnifique. On permit à la mère de prendre soin de son veau, mais juste pour une nuit. Le lendemain de la naissance, mon oncle retira le veau à sa mère et le plaça dans l'enclos à veaux de la grange - à seulement une dizaine de mètres plus loin : sa mère pouvait parfaitement le voir. Le mère pouvait voir son petit, le sentir, l'entendre, mais ne pouvait pas le toucher, le réconforter ou prendre soin de lui. C'était une torture que d'entendre les mugissements déchirants qu'elle ne cessait de pousser - minute après minute, heure après heure, durant cinq longues journées.
Ce sont les souvenirs auditifs les plus poignants et les plus douloureux que mon esprit emporte avec moi. Depuis cet âge, chaque fois que j'entends quelqu'un postuler que les animaux ne ressentent pas d'émotions, j'ai juste besoin de me repasser en mémoire ce son atroce de cette mère qui pleurait son enfant de tout son coeur de vache. L'amour maternel ne connaît pas de barrière d'espèce et je crois que tous les gens dont le coeur et l'âme sont végans savent que c'est vrai."
Michael Klaper, M.D.
Vidéo : VEGAN. For the People. For the Planet. For the Animals.
Anouk de Winter
"Le son le plus triste dont je me souvienne s'est imprimé dans ma conscience comme sous l'effet d'un fer rouge quand j'avais cinq ans, dans la ferme laitière que mon oncle avait dans le Wisconsin. Une vache avait donné naissance à un veau magnifique. On permit à la mère de prendre soin de son veau, mais juste pour une nuit. Le lendemain de la naissance, mon oncle retira le veau à sa mère et le plaça dans l'enclos à veaux de la grange - à seulement une dizaine de mètres plus loin : sa mère pouvait parfaitement le voir. Le mère pouvait voir son petit, le sentir, l'entendre, mais ne pouvait pas le toucher, le réconforter ou prendre soin de lui. C'était une torture que d'entendre les mugissements déchirants qu'elle ne cessait de pousser - minute après minute, heure après heure, durant cinq longues journées.
Ce sont les souvenirs auditifs les plus poignants et les plus douloureux que mon esprit emporte avec moi. Depuis cet âge, chaque fois que j'entends quelqu'un postuler que les animaux ne ressentent pas d'émotions, j'ai juste besoin de me repasser en mémoire ce son atroce de cette mère qui pleurait son enfant de tout son coeur de vache. L'amour maternel ne connaît pas de barrière d'espèce et je crois que tous les gens dont le coeur et l'âme sont végans savent que c'est vrai."
Michael Klaper, M.D.
Vidéo : VEGAN. For the People. For the Planet. For the Animals.